Batailles navales de l’antiquité à nos jours
- Auteur CV(H) Philippe HENRAT
- Publié dans Recensions
- Leave a reply
- Permalink
Voici un superbe livre-album qui passionnera tous ceux qui s’intéressent à la marine et tous ceux qui, avant de feuilleter l’ouvrage, ne s’y intéressaient pas plus que ça !
Réunissant de talentueux collaborateurs, du concepteur graphique au consultant avisé, l’auteur, jamais trahi par son traducteur, nous livre une encyclopédie complète des batailles navales dans le monde, qu’elles aient opposé les galères minoennes aux mycéniennes, ou les embarcations suicides des Tigres Tamouls aux canonnières srilankaises.
Avec abondance de détails, de dessins et d’illustrations de belle facture, l’ouvrage commence par décrire l’évolution des « navires de guerre » et leur constante adaptation au combat : de l’éperon de la pentécontère grecque aux missiles des sous-marins nucléaires, du bateau tortue coréen au porte-avions le plus moderne.Puis vient la description par le menu des principaux combats navals. Arme d’abordage, boulet de canon, transmission par pavillons, vie à bord, tout y est, il n’est pas un seul rivet de pont qui ne soit décrit avec minutie. On se prend à regretter, en feuilletant ces pages, que la mer occupe en France, pourtant pays maritime, une piètre place dans la conscience nationale. Après avoir mené le monde, un temps sur mer, la France dut bientôt abandonner la suprématie maritime à l’Angleterre, qui sait bien que l’action navale est indispensable pour protéger la libre circulation des biens et des personnes.
Avec abondance de détails, de dessins et d’illustrations de belle facture, l’ouvrage commence par décrire l’évolution des « navires de guerre » et leur constante adaptation au combat : de l’éperon de la pentécontère grecque aux missiles des sous-marins nucléaires, du bateau tortue coréen au porte-avions le plus moderne.Puis vient la description par le menu des principaux combats navals. Arme d’abordage, boulet de canon, transmission par pavillons, vie à bord, tout y est, il n’est pas un seul rivet de pont qui ne soit décrit avec minutie. On se prend à regretter, en feuilletant ces pages, que la mer occupe en France, pourtant pays maritime, une piètre place dans la conscience nationale. Après avoir mené le monde, un temps sur mer, la France dut bientôt abandonner la suprématie maritime à l’Angleterre, qui sait bien que l’action navale est indispensable pour protéger la libre circulation des biens et des personnes.
D’après CF(R) Alain Brière et CF(R) Philippe Henrat
Membres du Comité de lecture